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Marlioz, le 31 décembre 2020

Des délégations des quatre coins du monde ont goûté à l’hospitalité traditionnelle de l’Ouest canadien dans une organisation et des installations de grande qualité. Calgary 1988 : Les Français aux Jeux . Elle remonte ainsi à la deuxième place et gagne sa deuxième médaille d'argent pendant ces Jeux. Frank-Peter Roetsch devient ainsi le premier athlète à remporter les deux épreuves individuelles de biathlon aux Jeux olympiques depuis l'introduction du sprint en 1980. Le lendemain, la troisième manche est retardée puis reportée d'un jour à cause de forts vents[b 17]. Aux deux tiers de la seconde manche, il accroche une porte et tombe, ce qui permet à l'Autrichien Hubert Strolz de s'adjuger la médaille d'or. En outre, vingt-huit cérémonies sont célébrées à d'autres emplacements[a 45]. Le président du CIO Juan Antonio Samaranch qualifie l'événement de « Jeux olympiques d'hiver les mieux organisés de tous les temps Â»[b 1]. Derrière, les résultats sont très serrés puisque les Tchécoslovaques Pavel Ploc et Jiří Malec, médaillés d'argent et de bronze, et le Yougoslave Miran TepeÅ¡ se tiennent en moins d'un point. (PC Photo/AOC/Ted Grant) Pierre Harvey du Canada participe à une épreuve de ski de fond aux Jeux olympiques d’hiver de Calgary de 1988. Par exemple, les épreuves de patinage et de hockey sur glace doivent se terminer avant 23 heures, heure de la côte est de l'Amérique du Nord. La première épreuve est celle des hommes en simple, déroulée en quatre manches les 14 et 15 février. Ils sont rédigés en anglais et en français et portent les signatures des présidents du conseil d'administration et du comité d'organisation des Jeux ainsi que du président du CIO Juan Antonio Samaranch[a 45]. Le nombre indiqué entre parenthèses est le nombre d'athlètes engagés dans les épreuves officielles pour chaque pays[22]. C'est la dernière fois que des épreuves pour handicapés sont disputées aux Jeux olympiques puisque, dès 1988 pour les Jeux d'été et 1992 pour les Jeux d'hiver, les Jeux paralympiques se déroulent dans la même ville que les Jeux olympiques ; une épreuve pour handicapés aurait été redondante[105]. La couverture télévisuelle nécessite également 1 200 lignes téléphoniques. Trois épreuves sont au programme : la luge monoplace hommes et femmes et la luge biplace hommes. Le village olympique de l'Université de Calgary coûte 10,5 millions, payés par le comité d'organisation et l'Université[a 15] tandis que celui de Canmore est financé par la ville pour 3,2 millions[a 16]. En échange, ces entreprises peuvent utiliser les symboles olympiques pour leur publicité et reçoivent des billets pour les compétitions ainsi que des chambres d'hôtels. Plusieurs changements sont apportés au programme olympique. Au début du tournoi, les douze équipes sont séparées en deux groupes dans lesquels chaque pays affronte les cinq autres. Les meilleures équipes en saut à ski sont l'Allemagne de l'Ouest et l'Autriche, loin devant la Norvège. À Calgary, le « Finlandais volant Â» domine la compétition : il est champion olympique sur petit et grand tremplins en individuel ainsi que par équipe avec la Finlande[76]. Ils débutent à la cérémonie de clôture des Jeux d'hiver de 1984 et font ensuite 2 375 apparitions pendant les 14 mois précédant les Jeux et 425 pendant les Jeux[a 18]. Dans ce centre, 900 lignes de téléphone sont utilisées. « Air Canada jouit d'une relation à long terme avec les athlètes olympiques et paralympiques canadiens, notamment lors des jeux à domicile; cette association a commencé lorsqu'elle est devenue le transporteur officiel des Jeux olympiques d'hiver de 1988, qui se sont déroulés à Calgary et ont été un franc succès. Pour le saut à ski, quatre tremplins de 30 50, 70 et 90 mètres sont érigés. À l'approche des Jeux, tous les … Tous les sites sportifs se trouvent à Calgary à l'exception du Centre nordique de Canmore et de Nakiska, situés dans le Pays de Kananaskis au pied des Rocheuses canadiennes. C'est aussi la première fois que le tableau de Gundersen, méthode permettant de convertir les points du saut à ski en secondes, est utilisée aux Jeux olympiques : les skieurs prennent le départ de la course de fond avec un retard sur le premier déterminé par leurs résultats en saut à ski, et l'ordre des skieurs à l'arrivée permet d'établir le classement final[50]. Pour la première fois de l'histoire olympique, le saut à ski et la course de ski de fond du combiné nordique doivent donc se disputer en un jour[b 10]. Les Canadiens sont favoris dans les deux compétitions. Soutenir les Jeux olympiques d’hiver de Calgary pour 2026 • Découvrez des millions d'œuvres originales, imaginées par des artistes indépendants. La Finlande est la seule équipe à poser des difficultés aux Soviétiques[b 16]. Les pièces étaient vendues en partenariat avec la Banque Royale et le nombre de … Les journalistes occupent 9 290 mètres carrés alors que la chaîne de télévision ABC utilise 4 650 mètres carrés. Ski pour handicapés aux Jeux olympiques de 1988; Luge aux Jeux olympiques de 1988; Patinage de vitesse aux Jeux olympiques de 1988; ... Calgary Olympic Park Bobsleigh Luge Skeleton Track.svg 512 × 995 ; 236 Kio. Il est exclu du tournoi et son équipe doit abandonner les deux points de la victoire[60]. Les Jeux olympiques de Pékin, en 2022, ne sont plus qu’à environ 14 mois. C'est la première fois que les athlètes peuvent s'asseoir dans les gradins à côté des spectateurs aux Jeux d'hiver[33]. Le chinook, vent d'ouest chaud et sec venant des Montagnes Rocheuses[30], provoque le report de 30 épreuves[1]. L'Ouest-Allemande Marina Kiehl est proche de la chute à deux reprises mais surprend en s’adjugeant la médaille d'or. Dans les courses de bob à quatre, l'équipe jamaïcaine est particulièrement suivie. Comité d'organisation des XVes Jeux Olympiques d'hiver, Association de développement olympique de Calgary, Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes, Беларуская (тарашкевіца)‎, Srpskohrvatski / српскохрватски, Sélection de la ville hôte pour les Jeux olympiques d'hiver de 1988, Fédération internationale de bobsleigh et de tobogganing, Combiné nordique aux Jeux olympiques de 1988, Hockey sur glace aux Jeux olympiques de 1988, Fédération internationale de hockey sur glace, Patinage artistique aux Jeux olympiques de 1988, Patinage de vitesse aux Jeux olympiques de 1988, Patinage de vitesse sur piste courte aux Jeux olympiques de 1988, Ski acrobatique aux Jeux olympiques de 1988, Ski pour handicapés aux Jeux olympiques de 1988, Tableau des médailles des Jeux olympiques d'hiver de 1988, Sites des Jeux olympiques d'hiver de 1988, Comité d'organisation des Jeux olympiques et paralympiques d'hiver de 2010 à Vancouver, The Official Calgary 1988 Winter Olympic Film, Page des Jeux olympiques de Calgary en 1988 sur le site officiel du CIO, Fichier d’autorité international virtuel, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Jeux_olympiques_d%27hiver_de_1988&oldid=178177806, Pages avec des arguments non numériques dans formatnum, Page avec coordonnées similaires sur Wikidata, Article de qualité géolocalisé au Canada, Catégorie Commons avec lien local identique sur Wikidata, Page pointant vers des dictionnaires ou encyclopédies généralistes, Article de Wikipédia avec notice d'autorité, Portail:Époque contemporaine/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. La cérémonie d'ouverture a lieu le 13 février à 13 h 30 dans le Stade McMahon, par une température extrêmement froide. Ce nombre dépasse de loin la quantité de tickets vendus lors des précédents Jeux d'hiver. Hackl prend l'argent avec 368 millièmes de seconde de retard après être remonté dans la dernière manche et Kartchenko prend le bronze avec 726 millièmes de retard. Les patineurs artistiques ont procuré au Canada trois des médailles de sa récolte. Elle dure deux heures et 60 000 spectateurs ainsi que 2 600 athlètes et officiels y assistent[a 40],[b 6]. Surnommé Eddie the Eagle (Eddie l'aigle), il devient très populaire pendant ces Jeux[79],[77],[b 24]. De plus, l'Allemagne de l'Est et de l'Allemagne de l'Ouest concourent séparément pour la dernière fois avant la Réunification de 1990[21]. La Finlandaise Marjo Matikainen est la seule non-Soviétique à remporter des médailles en individuel : elle est championne olympique sur 5 kilomètres avec seulement 1,3 seconde d'avance sur la deuxième et médaillée de bronze sur 10 kilomètres[92],[98]. Les Jeux olympiques d'hiver de 1988, officiellement connus comme les XV Jeux olympiques d'hiver, ont lieu à Calgary au Canada du 13 au 28 février 1988. Vida Vencienė, inconnue avant les Jeux, est championne olympique sur 10 kilomètres et troisième sur 5 kilomètres[b 30]. De plus, alors que le comité a promis au départ que 90 % des places seraient attribuées au public, le superviseur des tickets Kenneth Melnyk annonce que 50 % des tickets des épreuves les plus populaires sont réservées à la famille olympique comprenant le CIO, les fédérations sportives internationales, les comités nationaux olympiques et les sponsors. Sports 13 au 28 février Jordan et Eva Cadwell (17ans) sont morts à cause de leurs toboggans personnels. La production des pièces pour les Jeux Olympiques de Calgary a débuté en 1985. Le comité décide également de programmer le patinage de vitesse sur courte piste, le ski acrobatique et le curling en tant que démonstrations[a 38], trois compétitions qui deviendront officielles lors des Jeux olympiques suivants[26],[27],[28]. Il a donc été remplacé par Chris Stokes, présent au Canada pour encourager son frè… Trois nations des Antilles, qui font toutes trois leur première apparition aux Jeux olympiques d'hiver, participent en bobsleigh : la Jamaïque en bob à deux et à quatre[46], les Îles Vierges des États-Unis représentées par deux hommes de 50 ans en bob à deux et les Antilles néerlandaises en bob à deux[41]. L'Ouest-Allemande Christa Kinshofer est médaillée d'argent alors que Maria Walliser obtient sa deuxième médaille de bronze[90]. Canada's Greg Haydenluck studies the bobsleigh course at the 1988 Winter Olympics in Calgary. En relais, les Soviétiques remportent facilement l'or avec une avance d'1 min 41 s 9 sur les Norvégiennes, qui ont dépassé les Finlandaises, troisièmes, après la chute de Jaana Savolainen à la fin du parcours[b 30],[99]. En 1988, ils deviennent champions olympiques avec 8,9 points d'avance sur la Yougoslavie[b 24]. Caswell Allen, le quatrième homme, s'est blessé avant les Jeux olympiques. Boitano s'impose dans les figures imposées alors qu'Orser remporte le programme court. L'Aéroport international de Calgary reçoit presque deux fois plus de passagers qu'habituellement durant les compétitions[10]. Finalement, le public reçoit 79 % des tickets mais a une réaction plutôt négative envers le système de billetterie à cause d'une mauvaise planification et d'une communication peu efficace[a 27]. Au total, 267 médailles sont créées pour les sports officiels et 102 pour les sports et épreuves de démonstration[a 45]. Pour la première fois, une épreuve par équipe est disputée : les quatre membres d'une équipe font un saut chacun à deux reprises et les trois meilleurs sont comptés à chaque tour. Le classement reste identique après la deuxième descente[63]. En outre, 1 098 diplômes sont remis aux huit meilleurs concurrents de chaque épreuve. Le réseau québécois TVA se charge de la diffusion en français[b 5],[a 71],[a 72]. Le Comité d'organisation des XVes Jeux Olympiques d'hiver (Olympiques Calgary Olympics, OCO) est mis en place en avril 1982[a 1]. La première des deux épreuves est la compétition par équipe, disputée les 23 et 24 février par 11 nations[51]. Oberhoffner prend l'avantage après la deuxième course[64]. Elles prennent les trois places du podium sur 20 kilomètres ; c'est la première fois depuis 1964 qu'un pays s'adjuge toutes les médailles dans une épreuve de ski de fond. L'Association de développement olympique de Calgary créée en 1957 prépare des candidatures pour accueillir les Jeux olympiques d'hiver de 1964 puis de 1968, toutes deux en vain. Le Soviétique Allar Levandi, quatrième après le saut à ski[55], obtient la médaille de bronze tandis que Schwarz prend la 13e place finale[54]. Il devance l'Ouest-Allemand Georg Hackl, champion d'Europe surprise devant Müller deux semaines avant les Jeux[62], et le Soviétique Yuri Kharchenko[b 17]. Soixante pays sont inscrits en octobre 1987, mais deux d'entre eux ne peuvent pas participer car ils ne sont pas représentés par un comité national à l'Union internationale de patinage et deux autres pays se retirent par la suite, tandis qu'un pays supplémentaire est autorisé à concourir par la Fédération internationale de bobsleigh et de tobogganing[a 6]. L'emblème des Jeux est choisi par le comité d'organisation. Tous les meilleurs moments en photo et vidéo de Patinage de vitesse aux Jeux Olympiques d'Hiver de Calgary 1988, et les résultats et médailles officiels par épreuve et athlète. Il est l'athlète le plus médaillé de ces Jeux en compagnie de la Néerlandaise Yvonne van Gennip, qui s'adjuge trois des cinq courses féminines de patinage de vitesse. Ce service produit notamment un film officiel et publie plus de 70 ouvrages[a 19],[a 20]. Au moins une finale d'épreuve se tient chaque jour du 14 au 28 février[a 39]. (Photo PC/AOC). Lors des travaux, le nombre de places est augmenté de 2 121 à 3 231[a 58]. Cinq juges votent pour Boitano, qui devient champion olympique, et quatre pour Orser qui prend l'argent. Des épreuves individuelles de 500, 1 000, 1 500 et 3 000 mètres sont disputées chez les hommes et chez les femmes avec un maximum de six patineurs par manche. Örtli est la plus rapide dans les deux manches de slalom. Il y a aussi 60 médailles et médaillons pour les démonstrations faites par des handicapés. Après l'épreuve de saut, l'Autrichien Klaus Sulzenbacher est premier devant l'Ouest-Allemand Hubert Schwarz et le Suisse Hippolyt Kempf[55]. Les compétitions de saut à ski ont lieu dans le Parc olympique du Canada et soixante-cinq athlètes de 19 pays y participent. C’est la skieuse alpine Karen Percy qui a procuré au Canada ses deux autres médailles. Le relais 4 × 7,5 kilomètres se déroule le 26 février et seize équipe y participent. CALGARY — Le conseil municipal de Calgary a enfoncé le dernier clou dans le cercueil d’une candidature de la ville aux Jeux olympiques et paralympiques d’hiver de … Référence : CH CIO-AH C-J02 … CALGARY — Le conseil municipal de Calgary a enfoncé le dernier clou dans le cercueil d’une candidature de la ville aux Jeux olympiques et paralympiques d’hiver de 2026. Les épreuves de patinage de vitesse se déroulent pour la première fois dans une patinoire couverte, l'Anneau olympique, construite sur le campus de l'Université de Calgary. Wolfgang Hoppe remporte les troisième et quatrième manches. L'équipe nationale jamaïcaine de bobsleigh lors d'un entraînement en février 1988, aux Jeux olympiques de Calgary (Canada). Le comité d'organisation vend plus d'un million et demi de billets pour les compétitions sportives et les cérémonies. Plusieurs années avant les Jeux, le comité d'organisation prévoit déjà d'engranger un bénéfice qui sera finalement de 32 millions[b 2],[9],[a 5]. Il représente un flocon de neige stylisé faisant référence aux Jeux olympiques d'hiver, mais peut aussi être vu comme une feuille d'érable, emblème du Canada. Dans une course difficile, Franck Piccard, qui n'a jamais gagné en Coupe du monde, devient le premier Français champion olympique en ski alpin depuis 20 ans. Comme celles de bobsleigh, les courses de luge sont perturbées par les conditions climatiques[32]. Sur une neige à moitié fondante, il devance l'Italien Maurilio de Zolt, champion du monde en 1987, et le Suisse Andi Grünenfelder[b 30],[94]. Ils ont un dixième d'avance sur leurs compatriotes Stefan Krauße et Jan Behrendt. Les Jeux de Calgary marquent la fin de la domination de l'Allemagne de l'Est, qui s'est adjugée cinq des six titres attribués lors des trois éditions précédentes[42],[43],[44]. Il loge notamment 12 000 personnes chez les habitants de la région[a 70]. Cent trente-cinq athlètes de 23 pays participent aux épreuves de bobsleigh[45]. Les propos du maire Labeaume ont eu des échos dans les bureaux du COC. La technique du skating, ou libre, a été inventée dans les années 1970 et s'est avérée plus rapide que la technique classique. Raisa Smetanina obtient quant à elle l'argent sur 10 kilomètres et le bronze sur 20 kilomètres. Un rapport effectué pour le Comité d'organisation des Jeux olympiques et paralympiques d'hiver de 2010 à Vancouver établit un lien direct entre l'organisation des Jeux d'hiver de 1988 et l'augmentation du nombre de médailles canadiennes aux Jeux d'hiver de 5 en 1988 à 24 en 2006. Le Centre nordique de Canmore est le site dédié aux épreuves de ski de fond, de biathlon et de ski de fond pour aveugles. Également entre les deux courses, les skieurs de cinq pays dont les Canadiens sont disqualifiés car leurs combinaisons de ski n'ont pas été contrôlées par la sécurité[b 28]. Chez les hommes, les skieurs soviétiques remportent les deux courses en style classique tandis que les Suédois, pourtant favoris, ont des problèmes de fartages et sont en échec. Accueil Jeux olympiques Jeux olympiques d'hiver Calgary 1988. Le combiné, composé d'une descente et de deux manches de slalom et présent en 1936 et en 1948, fait son retour aux Jeux olympiques tandis que le Super G apparaît pour la première fois. Elle est soutenue par des personnalités de l'économie et de la politique locales qui dépensent 2,5 millions de dollars canadiens pour promouvoir cette candidature[b 1]. Le premier centre des sports de glisse au Canada, les sauts à ski du Parc Olympique Canada ainsi que le centre de ski de fond de Canmore servent toujours et les futurs athlètes olympiques du Canada s’y entraînent encore aujourd’hui. Dans le slalom géant, il a déjà 1,14 s d'avance sur Hubert Strolz après une descente. Pour la première fois, une épreuve par équipe fait partie du programme olympique. Le skieur de fond canadien Pierre Harvey prononce ensuite le serment des athlètes[22] et sa compatriote Suzanne Morrow devient la première femme à prêter serment pour les juges[35]. Elles sont disputées par 90 athlètes de 22 pays différents[36] et se déroulent par des conditions météorologiques très changeantes[b 12]. Calgary a été la ville hôtesse des Jeux olympiques d'hiver de 1988. Parcourez notre sélection de jeux olympiques de calgary : vous y trouverez les meilleures pièces uniques ou personnalisées de nos boutiques. Les autres sports attirant au moins cent mille spectateurs sont le ski alpin (163 015), le patinage artistique (135 026), le saut à ski (122 153) et le bobsleigh (100 927). Deux mille sièges permanents et deux mille sièges temporaires sont utilisés pendant les Jeux[a 59]. (Photo: COC) This image is the property of the Canadian Olympic Committee (COC). L'Autrichien Helmut Mayer et le Suédois Lars-Börje Eriksson complètent le podium[83],[b 27]. L’ovale situé sur le campus de l’Université de Calgary a servi d’amphithéâtre pour les épreuves de patinage de vitesse longue piste lors des Jeux olympiques de Calgary en 1988. La Jamaïque participe aux Jeux olympiques d'hiver de 1988, organisés à Calgary, au Canada. Voir plus d'idées sur le thème bobsleigh, jeux olympiques d'hiver, jeux olympique hiver. Le 24 février, grande favorite, elle n'est que cinquième de la première manche du slalom géant. Ce pays domine les épreuves de luge (six médailles sur neuf) et est également premier en patinage de vitesse et en biathlon. Mikhail Devyatyarov s'impose sur 15 kilomètres et Alexei Prokourorov, presque inconnu avant les Jeux, sur 30 kilomètres. Une cinquième épreuve féminine, le 5 000 mètres, est ajoutée au programme olympique ; le nombre d'épreuves atteint donc dix. Les médias locaux se montrent critiques envers la billetterie et des changements dans le personnel du comité d'organisation, mais, globalement, les Jeux sont considérés comme un succès[a 78],[b 1]. Il augmente aussi la capacité de certains sites, notamment de ceux du saut à ski, du ski alpin, du hockey sur glace et du patinage artistique[b 4],[a 26]. Un relais masculin de 5 000 mètres et un relais féminin de 3 000 mètres sont également au programme. Avec huit pays et 151 athlètes de plus que lors des Jeux de 1984, cela constitue un record de participation pour les Jeux d'hiver à l'époque[1]. Les compétitions de biathlon ont lieu au Centre nordique de Canmore, à 105 kilomètres à l'Ouest de Calgary. Leur compatriote Vladimir Smirnov est troisième sur 15 kilomètres et deuxième sur 30 kilomètres tandis que deux Norvégiens, respectivement PÃ¥l Gunnar Mikkelsplass et Vegard Ulvang, complètent les podiums[92],[93],[b 30]. Cela fait de lui l'athlète le plus médaillé des Jeux avec la patineuse de vitesse néerlandaise Yvonne van Gennip[22]. Il prend la première place avec un temps de 25 min 8 s 1 malgré un tour de pénalité de 150 mètres parcouru après une cible manquée à la deuxième phase de tir. Les anciens athlètes canadiens Barbara Ann Scott-King et Ferd Hayward, dont les noms ont été tenus secrets jusqu'au dernier moment, sont les premiers à porter le flambeau au Canada[a 35]. Le drapeau olympique est abaissé et le maire de Calgary Ralph Klein le passe au président du CIO qui le transmet à Henri Dujol, maire de la ville française d'Albertville qui organise les Jeux d'hiver de 1992. De plus, 8 000 bénévoles y participent[a 40]. Pour la première fois, les épreuves olympiques de ski alpin se déroulent sur de la neige artificielle[b 21]. Après un deuxième saut de 107 mètres[78], il devient champion olympique avec une avance de 16,1 points sur le Norvégien Erik Johnsen et 16,3 points sur le Yougoslave Matjaž Debelak[79]. Le combiné se déroule ensuite les 16 et 17 février et seuls 26 des 56 skieurs au départ le terminent. Le slalom a lieu le 26 février. Les favoris sont les Soviétiques, qui ont remporté tous les relais depuis leur introduction aux Jeux en 1968, ainsi que les Est-Allemands, qui ont placé quatre coureurs dans les six premiers lors du sprint[39],[40]. Calgary obtient l'organisation des Jeux d'hiver de 1988 lors de sa troisième candidature en s'imposant face aux villes de Falun en Suède et Cortina d'Ampezzo en Italie. Un mot de bienvenue est prononcé par le président du conseil d'administration du comité d'organisation, Frank King, et un discours du président du CIO Juan Antonio Samaranch est présenté avant que Jeanne Sauvé ne proclame l'ouverture des Jeux, en déclarant les deux phrases suivantes : « Je proclame l'ouverture, des Jeux Olympiques de Calgary, célébrant les XVème Jeux Olympiques d'hiver.

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